Le tricot – La naissance d’une passion

31 mai 2020

A la fameuse question “quand as-tu découvert le tricot ?”, je réponds ceci : à 10 ans. Oui mais, stop, je ne tricote pas depuis que j’ai 10 ans … Mais quelque chose s’est passé à ce moment-là. J’ai découvert le tricot pour la première fois et je ne l’ai jamais vraiment oublié…

En primaire, mon institutrice a eu l’idée de nous initier au tricot pour réaliser le cadeau de la fête des pères. Nous avons donc tricoté un petit projet simple au point mousse. Mais GiuGiu avait découvert sa passion, elle ne le savait juste pas encore. 

Et hop, nous voilà à la mercerie maman et moi pour acheter mon premier matériel (une pelote et des aiguilles). J’avais tout le temps envie de tricoter, même si je ne réalisais rien de concret, je faisais juste des rangs aller-retour, sans rien créer. Mais peu importe, cela m’amusait et me détendait. Je l’emportais partout avec moi.

 

Bon, j’ai vite laissé tomber, j’ai changé d’occupation, ne me demandez pas pourquoi… J’avais sûrement trouvé mieux à faire !
Mais, mais, mais ! Quelques années plus tard, j’ai repris, donc j’avais gardé dans un coin de ma tête que j’aimais ça.

 

En 2014, je suis partie à Bruxelles pour démarrer mes études. Donc imaginez : arriver dans une ville inconnue, sans ses repères, sans sa famille, dans une nouvelle chambre, une nouvelle école, un nouvel environnement… L’angoisse pour moi. Je pleurais tous les jours. C’était très difficile, j’avais envie d’abandonner et de rentrer à la maison. Mais non, il était hors de question que je baisse les bras. J’avais envie d’y arriver ! Et j’ai donc décidé de trouver une occupation qui allait pouvoir m’aider. Et c’est là que l’idée du tricot est revenue. Comme ça, comme une soudaine envie de découvrir quelque chose de manuel. Car avant le tricot, ma passion première a toujours été la musique. Encore maintenant, la musique est indispensable dans mon quotidien. J’ai toujours adoré chanter, ça m’a toujours fait beaucoup de bien. Mais dans une résidence étudiante où t’entends les mouches péter, j’assumais pas trop et j’étais pas à l’aise qu’on m’entende chanter, faire des covers. Du coup, fallait trouver autre chose. Et l’idée de la création manuelle me tentait bien.

Je n’ai pas perdu de temps. Je suis partie en mercerie pour acheter une paire d’aiguille et une pelote de laine. Et me voilà lancée pour tricoter une écharpe. J’y ai vite repris goût, ça me rappelait de bons souvenirs de quand j’étais plus jeune. J’ai rapidement adoré le côté manuel et créatif, je suis clairement devenue addict ! 
Et voilà, depuis, je n’ai plus jamais quitté mon tricot, devenu une réelle passion. 

Les commentaires

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Shopping cart0
Il n'y a pas d'articles dans le panier !
Continuer les achats